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Long time, no see, little feelings...

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Drake Carter

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Drake Carter
*Toc-toc* Sarah Connor ?
Message Sujet: Long time, no see, little feelings... | Ven 26 Juin - 12:06

Le soir tombait sur San Francisco. Les doigts roses du soleil s'accrochaient encore au ciel, tentative désespérée de la part du crépuscule pour régner encore une minute, une seconde de plus... ne pas laisser la nuit s'emparer du monde et le dominer. Cela ressemblait un peu au combat que les Hunters menaient chaque jour. Drake Carter y songeait chaque soir en regardant le soleil : un jour de plus à lutter contre les ténèbres.

Ce soir-là, néanmoins, il n'observait pas le crépuscule depuis le quartier des Hunters. Il se trouvait dans les quartiers résidentiels de la Bright, venu confirmer les informations d'une source peu fiable car inconnue : un voisin - sûrement mécontent - avait contacté l'un de ses Hunters afin de signaler un mutant dangereux à abattre dans le coin. Les querelles de voisins n'étaient pas rares, et la délation mensongère, monnaie courante. Drake aurait pu envoyer un sous-fifre effectuer la vérification, mais il voulait effectuer une vérification d'un autre genre au passage : repérer les demeures de certains mutants avérés qui œuvraient dans les strates élevées de l'administration de la ville, et dont Drake voulait garder le secret de leur mutation. La nouvelle de leur contamination devait rester secrète afin de ne pas provoquer de panique dans les rues... mais la surveillance était de mise.

Habillé en joggeur, Drake Carter trottait donc droit vers le couchant, suivant la vaste rue inclinée, se faisant passer pour un sportif du quartier comme on en croisait tant, même depuis la catastrophe chimique. Les gens maintenaient les apparences, l'illusion d'une vie sûre, même dans la tourmente. Étonnant, ce à quoi se raccrochait l'humain quand tout s'effondrait autour de lui. Les habitudes...

Parvenu à hauteur de la maison dont l'occupant était a priori signalé comme un mutant dangereux, Drake releva le nom et le prénom, faisant mine de s'étirer devant la boîte aux lettres. Et soudain, alors qu'il relevait les yeux, il surprit une forme s'échapper d'une fenêtre à guillotine de la maison d'à côté, depuis l'appartement du premier étage. Une forme qui, visiblement, ne désirait pas être vue. Pressentant un cambriolage en cours, Drake voulut se dissimuler à son tour afin de ne pas s'en mêler - il combattait les mutants, mais les crimes communs, il les laissait à la police.

Cependant, le cambrioleur fut surprit par l'arrivée de la propriétaire des lieux qui arrivait dans l'autre sens, et il fit aussitôt demi-tour, se précipitant droit vers Drake qui n'eut d'autre choix que de l'intercepter. Il aurait pu faire mine de ne pas savoir comment s'y prendre, mais ses réflexes furent plus rapides que sa pensée : s'écartant légèrement du malfrat, il tendit la main au dernier moment pour lui saisir le poignet et effectuer une clé de bras qui fit volter le scélérat. Un craquement sec retentit, comme il avait sans le vouloir cassé le poignet de l'homme, pourtant costaud. Drake ignora le cri aiguë de sa victime, qu'il précipita contre le parapet du jardinet à côté de lui. Sa tête fit "bonk" contre la boîte à lettres du potentiel mutant, et Drake lui arracha le sac à bandoulière. Il le jeta sur le sol, et le contenu s'y répandit en partie : bijoux de famille, bagues en argent, une liasse de billets de 500 dollars... il n'avait pas choisi sa cible au hasard, ce ne devait pas être n'importe qui.

Gardant le cambrioleur plaqué contre le parapet, Drake tourna son regard vers la femme pour confirmer :

"C'est bien de chez vous qu'il venait ?"

Il n'ajouta rien, le souffle coupé par la beauté froide qui lui faisait face. Cela faisait bien longtemps que Drake Carter n'avait pas été réduit au silence par un regard aussi intense et brûlant que celui de la jeune femme... il se retint de déglutir, mais son cœur s'emballa.

Cela aussi, ça faisait longtemps...
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Regan Allen

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Regan Allen
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Message Sujet: Re: Long time, no see, little feelings... | Dim 12 Juil - 17:53

Journée pourrie.
Depuis la mort de Gallagher, c’était la merde dans les locaux de la Neo Corp. Tout le monde essayait de grappiller un morceau de pouvoir ; les requins s’entre-déchiquetaient joyeusement sans faire leur taff. Ce n’était pas tant le chaos ambiant qui emmerdait Regan – s’ils voulaient se pourrir les uns les autres entre fumiers, grand bien leur fasse – ça, elle s’en foutait éperdument. Qu’on lui casse les couilles aussi, qu’on lui demande de prendre parti, ce genre de conneries de bas étage, ça, ça la faisait chier. Comme si elle allait prendre part à une mutinerie d’amateurs ! Parce qu’il ne fallait pas se voiler la face : ils n’y connaissaient rien en matière de révolte, ces empaffés qui se prélassaient derrière leurs paillasses ou leurs bureaux à longueur de journée.

C’était donc passablement énervée qu’elle faisait son bout de chemin pour rentrer chez elle, à pieds, dans l’espoir de se défouler un peu. C’était évidemment lors de ces journées navrantes que, cetpetit pompeux de Williams lui interdisait le terrain sous de faux prétextes. Elle n’avait même pas eu le loisir de dérouiller du mutant pour égayer son humeur. Nope. Rien de tel. Juste un bureau, l’inertie totale, les minutes qui s’écoulaient avec une lenteur poisseuse, et ces fieffés débiles qui se crêpaient le chignon. Oh, sans parler des maîtresses éplorées. Sérieusement. Gallagher était-il un si bon coup que ça, ou c’était le fric, qui allait leur manquer, à ces salopes ?

Lasse de ces niaiseries, Regan s’était brièvement réfugiée dans les laboratoires dans l’espoir d’y trouver Trisha, qui l’enverrait sur une mission bien retorse, bien malhonnête et potentiellement sanglante – cette partie restait à la discrétion de la mercenaire – mais non. Notre folle de la gâchette fit chou blanc et dut même servir de rat de laboratoire pour un scientifique influent. Oh, personne ne forçait Regan à faire quoi que ce fut, sauf, bien sûr, quand on agitait sous son nez des récompenses bien dodues…

Or, la situation de Regan devenait quelque peu précaire. Là où Jeffrey John Gallagher avait su reconnaître l’utilité d’une femme de sa trempe, elle doutait que la secrétaire récemment promue – ce n’était plus de la promotion canapé, c’était du sofa de luxe, là – comprenne l’importance d’avoir un bras armé de sa carrure parmi une équipe de scientifique poltron. Hé, que ferait-elle si elle était au chômage ? Rejoindre les Peacekeeper pour que ce cul coincé d’Anderson Dawn la regarde de haut ? Certainement pas ! Les options bien payées n’étaient que trop rares, dans cette fichue quarantaine. Merde.

Elle ressassait encore ces perspectives qui manquaient cruellement de billets verts à son goût lorsqu’elle arriva dans la rue où elle habitait. Déjà fortement agacée à la base, Regan passa instantanément en mode furax quand elle aperçut un voleur se carapater par la fenêtre de sa cuisine.

Elle abandonna ses talons vertigineux pour courir après l’impudent qui tournerait au coin de la rue, sa main se glissa dans son sac pour saisir de son arme. Rien de tout cela fut utile. Le voleur fut intercepté avant même qu’elle entame son sprint.
Regan fronça les sourcils.

« J’avais pas besoin de votre aide. »

Avait-il remarqué son arme ? Cet inconnu venait d’épargner un voleur une balle bien sentie dans la cuisse. Le petit criminel avait, à la place, un bras cassé, mais ça, Regan n’en avait strictement rien à cirer.

Pourtant, c’était bien la première fois qu’elle se sentait embarrassée de s’être délestée de ses talons vertigineux pour courir après un scélérat. Elle jeta une œillade suspicieuse à son prétendu sauveur, puis repassa en mode professionnel dans l’instant qui suivit – elle recevait une prime pour chaque mutant capturé en état d’être étudié – et sortir de son décolleté le pendentif qui ne la quittait plus. C’était une jolie fiole de Neo Sérum I qui réagissait à proximité des mutants. Encore un cadeau de Trisha, qui avait amélioré cet échantillon rien que pour elle en échange d’un service qui impliquait un petit brin de torture.

Mais non.
Le voleur n’était même pas un mutant.
Personne à fracasser aujourd’hui.

Contrariée qu’on lui ait piqué sa seule distraction de la journée, elle pinça les lèvres, hautaine à souhait, puis s’intéressa aux biens répandus sur le sol. Quelques-uns des objets qui se trouvaient là ne lui appartenaient pas, mais elle se garda bien de le préciser. Quelques bijoux avaient été un bonus d’un larcin commis deux ans plus tôt, une victoire dont elle était particulièrement fière, et les billets, surtout les billets lui appartenaient. Elle remplit le sac à la hâte, puis souligna :

« Vous attendez quoi pour appeler la police ? »

Mais en fait, elle n’avait pas tellement envie de voir les sales tronches d’une paire de Peacekeepers. Puis, son regard croisa celui de son sauveur et, l’espace d’un instant, elle perdit ses moyens, oubliant même de se raviser, de l’envoyer chier, de lui dire de se démerder avec sa prise, bref, tout ce florilège grossier dont elle aurait fait étalage en temps normal. À la place, elle contempla la silhouette de l’homme, intriguée.
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Drake Carter

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Drake Carter
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Message Sujet: Re: Long time, no see, little feelings... | Mar 4 Aoû - 15:39

Le regard rivé sur les lèvres fines de son interlocutrice, Drake mit quelques longues secondes à comprendre ce qu'elle lui disait. Il fit passer ce court laps de temps pour un examen méthodique de la personne qu'il avait en face de lui – ce qu'il fit, mais plus par intérêt pour les courbes élancées de la jeune femme que le reste, comme ce pistolet automatique dont il devinait l'emplacement dans un holster dissimulé sous la veste de l'inconnue... le vêtement couvrait habilement les formes de l'arme, mais pour un œil aussi exercé que le sien, cela ne faisait aucun doute : cette femme était armée et dangereuse. Elle avait balancé ses talons pour poursuivre le cambrioleur, une attitude proactive – et même davantage ! – qu'aucune jeune femme habituelle n'aurait eue. Une personne normale aurait appelé la police. Elle n'était pas normale. Elle était...

Extraordinaire, se dit Drake en remontant son regard du holster vers le regard glacial qui lui faisait face. Il s'agissait soit d'une Peacekeeper, soit d'une mercenaire. Mais vu qu'elle n'avait pas sortie de badge pour se vanter de représenter la loi de San Francisco, il tendait vers la seconde hypothèse. Sa curiosité envers cet être hors du commun monta encore d'un cran si c'était possible.

"J'avais pas besoin de votre aide", avait-elle lâché d'un ton aussi dédaigneux qu'agressif. Drake se retint de sourire, dissimulant son amusement légèrement agacé sous un masque impassible. Martial.

"Je n'avais aucun moyen de le savoir", répondit-il d'un ton plus que posé, tenant toujours le cambrioleur le visage appuyé contre la boîte aux lettres. Il aurait bientôt le nom du locataire imprimé dans la joue, si ça continuait. Son regard revint sur la jeune femme, qui avait profité de sa seconde d'inattention pour dégager son col et... c'est moi ou elle me fait du gringue en me montrant son décolleté ? Drake remarqua le pendentif qui ornait le haut de la poitrine légèrement pigeonnante sous l'habit de travail à l'échancrure au demeurant plutôt sage. Son regard se figea, reconnaissant immédiatement l'artefact, une fiole de Néo Serum I qui réagissait à proximité des mutants. La jeune femme cherchait à vérifier s'il faisait ou non partie du camp des contaminés.

Définitivement une mercenaire, se dit-il, vu qu'elle n'était pas au rang des Hunters ni des Peacekeepers.

Ce n'était définitivement pas un signal destiné à le séduire, étant donné qu'en plus de ce détail plutôt capital, l'inconnue reprit d'un ton trop agressif pour être contrefait : "Vous attendez quoi pour appeler la police ?"

Cette fois, Drake ne put retenir un demi-sourire de s'épanouir sur un coin de ses lèvres fines. Légèrement moqueur mais pas méchant, il ne put s'empêcher de lui faire remarquer : "Eh bien, comme vous le voyez, j'ai les mains occupées..."

Ce disant, il désigna le cambrioleur qui gémissait plus qu'il ne se débattait – néanmoins, on n'était jamais trop sûrs, d'autant qu'il pouvait très bien jouer la comédie dans l'espoir de profiter d'un instant d'inattention de leur part pour s'enfuir sans leur demander leur avis.

"Et j'ai laissé mon téléphone à l'appartement", broda-t-il sans même ciller sous le poids de ce petit mensonge – l'habitude, sûrement. "Je ne le prends jamais pour aller courir."

Il se garda d'ajouter qu'il ne voulait surtout pas sortir sa radio à ondes courtes et moyennes non approuvée par les autorités devant elle, laquelle radio était réglée sur la fréquence des Peacekeepers afin de les espionner, mais contenait de quoi mener une personne mal intentionnée et plutôt bien équipée droit vers le QG des Hunters.

"A moins, reprit-il d'un ton nonchalant qui ne l'était pas vraiment, que vous ne préfériez lui prendre son butin, qui contient sûrement celui de ses précédents larcins en plus de vos biens, et de le laisser repartir avec son poignet cassé en guise de punition. A vous de voir."

En disant cela, il voulait également lui montrer qu'il n'était pas un citoyen lambda – même s'il ne lui avouerait jamais son identité véritable pour l'instant, en bonne mercenaire sa loyauté se mesurait à l'aune de la somme qu'on lui versait, et elle aurait tout aussi bien pu lui balancer une balle entre les deux yeux pour le livrer aux autorités, ou à ses autres ennemis. Ainsi, elle saurait de lui qu'il n'hésitait pas à évoluer aux frontières de l'illégalité, même si elle ignorait encore à quel point...
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Regan Allen

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Regan Allen
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Message Sujet: Re: Long time, no see, little feelings... | Mer 8 Avr - 21:34

Tiens, c’était peut être la meilleure nouvelle de la journée, ça.
On lui proposait gentiment de ne pas appeler les flics. Tant mieux. Si cela rendait son interlocuteur suspect (ou simplement malhonnête), elle n’aurait pas à subir un énième interrogatoire. Chaque fois, ses passages chez les PK pour dépositions et autres paperasses en tout genre prenaient des plombes. Et pour cause : la spécialité de Regan consistait à se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment). Bizarrement, les Peacekeepers avaient tendance à négliger sa version des faits. Peut-être que les chèques dodus de Gallagher pour la tirer d’affaire ne s’exprimaient pas en sa faveur ?

Elle finit de remplir le sac dans un silence pincé, incertaine de la procédure à suivre, tout en jetant de fréquents regards à l’inconnu. Partagée entre curiosité et prudence, tâchant de ne pas se laisser aller à la contemplation inutile du héros crapuleux du jour et sa victime en position bien ridicule – pourvu que ce connard ne bave pas sur sa boîte aux lettres – et surtout, rechaussant ses talons hauts de façon aussi digne que pouvaient lui permettre ses collants malmenés par sa course, Regan décida que, peut-être, le jeu en valait la chandelle :

« Et vous attendez une part dudit butin ? »

Piège ou pas, cet homme savait déjà ce que contenait ses placards et son coffre, puisqu’il avait eu le loisir d’observer ses biens étalés sur la voie publique. Il savait aussi où elle habitait. Donc, le laisser entrer chez elle… Elle n’était pas à ça prêt. D’ailleurs, commencer à être farouche maintenant alors qu’elle avait adoptée une approche assez vindicative jusque-là pouvait être vu comme un signe de faiblesse. Or, elle était tout sauf faible.

« Oh, puis merde », conclut-elle à mi-voix en époussetant ses cuisses, cherchant à effacer les plis formés sur le tissus.

Elle devait se rendre à l’évidence : si elle avait pu courir, sa jupe fourreau aurait probablement vécu une journée bien plus terrible que la sienne. Or, le vêtement coûtait certainement une fortune et ne méritait pas d’être malmené plus que ça.

D’un haussement d’épaule, elle indiqua qu’elle n’avait que faire du voleur. Elle passa la porte d’entrée, s’engouffra dans l’étroite cabine d’ascenseur qui attendait au rez-de-chaussée, tout en maintenant la porte ouverte. Elle pencha la tête sur le côté et, comme si la chose était entendue, appela :

« Bon, vous vous ramenez ? »

L’agacement persistait dans sa voix, tenace, pareil à la tension qui habitait tout son corps suite à cette sale journée. Un verre, voilà ce qui lui fallait. Un verre et, peut être plus tard, un bon sac de frappe. En attendant, elle se contenterait d’un brin de conversation avec cet homme intriguant et irritant. Qui sait, peut-être avait-il des information juteuses qui pourraient lui rapporter gros ? Oui, tout à fait, c’était pour cela qu’elle lui proposait de la suivre, pour en apprendre davantage. L’information était la monnaie d’échange la plus rentable ces temps-ci. Et on ne pouvait décidément pas avoir ce genre de conversation dans la rue, avec sous le bras un sac chargé de larcins en tout genre.

Voilà, ce n’était qu’une fois dans cet ascenseur, à attendre son invité surprise, à anticiper la proximité à venir pendant la lente ascension (mélange grisant de méfiance et d’intérêt avide), que son esprit décrivait le cheminement logique de ses pensées qu’elle aurait dû avoir plus tôt, dans la rue, avant justement de convier le danger chez elle, l’air de rien.

Allez ma vieille, reprends-toi.
D’une pensée désinvolte, elle décida que la cause de son comportement inhabituel, de son manque de réflexion et de sa baisse de grossièreté, n’était nulle autre que cette putain de sale journée.
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