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Anderson Dawn

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Anderson Dawn

First in Deed

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Anderson Dawn
First in Deed
Message Sujet: Anderson Dawn | Lun 21 Jan - 22:13




Anderson DAWN


feat. Jeremy Renner


Identité


Âge: 32 ans
Occupation: ex-membre du SWAT de San Francisco
Contamination: Sain
Pouvoir éventuel: Néant
Personnalité:

Une première chose à dire sur moi : je suis têtu. Et oui, ça commence fort, mais c'est l'un de mes traits de caractère principaux. Ma ténacité est ce qui fait de moi ce que je suis aujourd'hui, quand je fais quelque chose, je le fais jusqu'au bout. Quitte à y laisser des bras cassés. Non pas que j'aime particulièrement être blessé, mais faut savoir bien faire ce pourquoi on est fait, et pas abandonner dès la moindre difficulté.

Tête brûlé, aussi, j'ai passé mon enfance à me battre contre les gamins du quartier, et j'ai acquis depuis une certaine science à me mettre dans le pétrin. Et depuis lors, j'adore m'y jeter tête baissée. Inconscience ou problème mental, je ne saurais trancher. C'est pas que j'aime pas réfléchir, je suis un peu plus évolué que le "taper, pas taper", mais des fois, faut que les réflexes prennent le relais. Et je fais une confiance la plus totale dans mes instincts.

En parlant de confiance, j'ai confiance en l'uniforme, et, en bon Américain, en notre pays. J'ai confiance envers mes hommes, mon équipe, et les hommes et les femmes de l'ensemble des Forces Armées des Etats Unis. Comprenez par cette confiance que je ne vais pas leur crier dessus en les visant de se mettre à genoux en levant les mains. Ce qui n'est pas le cas pour n'importe quel civil. Si j'ai appris un truc durant mes nombreuses missions, c'est que tout soldat n'est pas un jeune homme, et tous ne portent pas d'uniforme. N'importe lequel de ces soi-disant civil est un hostile en puissance. Et à traiter comme tel.

Alors, oui, je ne fais pas confiance facilement à ceux qui n'ont pas déjà accompli quelque chose au service de notre beau pays, parce que je ne sais pas qui ils sont, et je n'exclue jamais la possibilité qu'on me mente. La confiance ne se gagne pas, elle se paie, et si c'est au prix du sang, c'est encore plus convainquant.

Je suis sûr de moi sans être arrogant. Je sais que je peux me tromper, et je sais que je suis faillible, mais je sais aussi que je fais au mieux, et que par conséquent, cela mérite un peu de crédit de soi. Je ne me sens pas particulièrement invincible, même après deux tours en Afghanistan. Mais je pense qu'il en faudra pas mal pour me tuer. Remarquez, avec ces mutants qui traînent, ça peut arriver vite.

Si il faut que je vous raconte tout, autant aller droit au but en "n'omettant" aucun détail. Si vous êtes psy par contre, arrêtez vous là, j'aime autant. Je ne dors presque plus sans médicaments, parce que chaque personne à qui j'ai pu ôter la vie revient me hanter. Chaque fois que je ferme les yeux, ils reviennent. J'ai beau savoir que j'étais dans mon droit, que c'était moi ou eux, ça marche pas. Tuer est facile. Vivre avec l'est moins…

Dernière chose, et la plus évidente : j'adore mon métier. J'ai été militaire, mais je préfère intervenir dans nos belles villes américaines. "Protéger le rêve américain de l'intérieur !" qu'ils disaient.


Physique:

Conformément à mon profil psychologique, je suis grand, avec 1 mètre 83, et bien bâti. Les entraînements que j'ai fait dans ma vie m'ont beaucoup façonné, et je suis fier d'arborer une musculature remarquable. Comme j'y tiens, et que je souhaite garder ma place dans les unités du SWAT, c'est une chose que j'entraîne régulièrement, soit dans les salles de sport dédiées, soit en allant provoquer une petite rixe de bar. Rien de tel pour se détendre et lâcher du lest.

Je ne suis pas non plus une montagne de muscle comme les champions d'haltérophilie, parce que j'ai gardé une bonne place au côté endurant. Notre entraîneur du combat au corps à corps nous disait toujours que notre meilleure défense, c'était notre capacité à résister aux coups. A ne pas tomber. Alors je me maintiens dans ce sens, et mes footing durent jusqu'à ce que je me sente sur le point de m'écrouler.

Autres détails qu'apprécient les cartes d'identité : j'ai les cheveux bruns coupés courts et les yeux bleus. Concernant mes yeux, j'ai une vue excellente, mais vous auriez pu le deviner, puisque ça fait partie des incontournables pour rentrer dans les services spéciaux. Ça fait pas partie des choses qui restent pour la vie, mais j'ai généralement pas mal de bleus et autres coupures sur moi. Elles changes de place, mais il y en a souvent, et régulièrement.

Je garde aussi tout le temps mes dog tags sur moi. Vous savez, ces petites plaquettes métalliques qui servent à identifier votre corps quand il a été déchiqueté par une mine et qu'on ne sait plus où est la tête. Bah je ne conçois même pas de m'en séparer.

Un dernier point sur ma santé : j'y fais attention, sans plus. Ça m'arrive de fumer, mais rarement, c'est mauvais pour les poumons. De boire, déjà un peu plus, même si c'est mauvais pour le foi. Alors, oui, je connais tous les trucs à pas faire, et j'y prête attention, mais si c'est pour passer une vie cloîtré chez soi à manger de la salade et boire de l'eau bénite, non, merci !

Bon, d'accord, j'ai aussi un tatouage. Sur l'avant-bras gauche, où il y a simplement marqué " Pro Patria Vigilans", "je veille sur la patrie", fait depuis que je suis rentré dans le SWAT et les forces de police.


Opinions


Impact de la situation:

Depuis que c'est devenu le bordel dans San Francisco, je passe les trois quarts de mon temps au centre de police. Non pas que mon appartement se soit fait ravager, mais au nombre d'alertes à la minute, mieux vaut être prêt de l'action. Ça s'est un peu calmé depuis un mois, mais je ne reste jamais bien longtemps au repos.

Et puis, au moins, je crève pas de faim, puisque les autorités en place veille à bien nous nourrir pour qu'on aille au casse-pipe en forme. Parce que c'est devenu dangereux. M'est d'avis que la ville s'est transformée en un sacré merdier, et qu'on va avoir du mal à s'en sortir. Après, je dis pas, peut-être qu'avec beaucoup d'efforts et d'acharnements, on pourra en voir le bout, mais là je suis pas convaincu. Après tout, ils ont des X-men en face.

On m'aurait parlé de mutants à New York, je vous aurais bien ri au nez, mais vu que ça m'arrive sous les yeux, j'ai pas d'autres choix que d'y croire. D'autant plus que mon équipe s'est faite dezinguée dans cette affaire. Je les aimais bien mes petits gars, mais je les connaissais pas depuis suffisamment longtemps pour avoir fait leur deuil. Alors, bon, j'ai pas d'autres choix de survie que de continuer à faire mon travail au mieux, en n'espérant ne pas me chopper ce fichu virus.


Soi réel



Pseudonyme: Vaea
Comment avez-vous connu ce forum: top site
Autre chose ?: Pour en revenir à mon nombre de RPs maximum, en cas d'évent, je pourrais pousser jusqu'à deux, mais en mettant un peu plus de temps à répondre sur le RP 'normal'. A voir, donc. Prépa power \o/



Shut Down soutient la création; cette fiche a été codée par Orange de CSSActif

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Anderson Dawn

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Anderson Dawn
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 0:03


Histoire




Enfance militarisée et premier séjour outre mer


Je suis né un 4 juillet. Prémonitoire ? J'aime à le penser. Mon enfance passa entre Chicago et ses grands lacs où je pêchais avec mon père, et New York, où ma mère passait le plus clair de son temps au travail, me ramenant un repas chaud le soir avant de repartir en dîner d'affaire. Mes parents avaient divorcé six mois après ma naissance, et ma mère avait obtenu une garde partagée. Chose que je ne m'expliquais pas, au vu du peu de temps qu'elle me consacrait quand c'était son tour de m'élever et de m'apprendre une autre vision du monde que celle de mon père parlant d'innombrables adversaires entourant les Etats Unis d'Amérique.

Ancien militaire et membre de la Delta Force, mon père était un modèle de héros américain tel que je me l'imaginais. Ce n'était pas Superman ou un de ces X-men aux superpouvoirs, mais il incarnait la force de l'Amérique face au monde. Il me répétait sans cesse que les Etats Unis avaient besoin de se montrer forts, pour que personne ne vienne nous attaquer sur notre sol. Il m'emmenait à des défilés militaires, et aux musées consacrés à la puissance symbolique des Etats-Unis. Il voulait faire de moi un pilote.

Mes études étaient pour le moins chaotiques, malgré quelques années clés où je travaillais suffisamment pour décrocher un diplôme. Dès que je le reçus, cependant, je me rendis au centre de recrutement de l'Armée le plus proche. J'avais 19 ans, et étais toujours persuadé que nous étions entourés d'ennemis.

Je fus affecté à l'Armée de Terre, et obtins le grade de caporal, avant mon premier déploiement en Afghanistan. Les cheveux quasiment entièrement rasés, je serrais d'excitation mon M4 dans mes mains gantées, mon casque posée sur mes genoux. J'allais enfin protéger mon pays !

Je n'imaginais pas que j'allais rester dans la base et ses alentours pour trois mois, évidemment. Ma première expérience en tant que militaire fut donc plutôt décevante. Ce ne fut qu'après que les véritables sorties -accompagnées des véritables emmerdes- commencèrent. Au début, c'était juste un jeu. On se canardait depuis des positions éloignées, mais ni nous ni eux ne nous touchions.

La guerre me montra son vrai visage lorsque le Humvee de tête sauta sur un Engin Explosif Improvisé, transformant en tas de chair et de muscles notre sergent et deux autres de l'escouade. On s'arrête, et on sort précipitamment. Une roquette fuse à quelques mètres devant nous alors que crépite les tirs d'armes automatiques. Je fais feu, aussi, visant les montagnes.

J'ai perdu mon casque quelque part, mais je continue de faire feu. Un hostile s'approche, le fusil levé vers moi. Je n'hésite même pas. Une rafle le cueille à la poitrine et il se renverse en criant. Mes mains tremblent et je vois flou pendant quelques secondes.

Je n'en parlerais à personne, mais ce premier mort sur ma conscience est celui qui vient me hanter le plus souvent. Un gamin de même pas 15 ans qui ramassait l'arme d'un taliban abattu.


Deuxième tour en Afghanistan

La deuxième fois, je suis plus sérieux dans le C-130 qui nous conduit à la base du groupement de soutien blindé de Kaboul. Les bleus s'agitent autour de moi, comme moi à leur âge à peine plus d'un ans maintenant. Mais je n'ose pas les réprimander. Je comprends ce que ressentaient les vétérans. Un sentiment de perte. Un sentiment amer.

Durant ce second tour a lieu l'événement qui me fera quitter l'armée. Après neuf mois où les pertes ont été réduites à l'extrême, je passe en revue les troupes afghanes avec mon peloton. On doit leur apprendre à tirer. Un boulot simple, en apparence. Sauf quand un des types qu'on est en train de former nous vise au lieu des cibles.

Le bilant fut de un mort et six blessés, dont moi-même. Je récoltais une balle dans l'épaule et fut immobilisé quelques mois. Dès que je sortis de l'hôpital, je quittais l'Armée. J'avais rempli mon devoir, j'avais même rempilé, mais je n'avais plus envie de sortir de mon pays. Ailleurs, c'était le bordel. Mais surtout, je n'avais pas l'impression de faire quelque chose d'utile. Je m'étais juré de protéger mon pays, mais j'avais l'impression que les civils s'en fichaient de la guerre. De notre sacrifice.


San Francisco, QG de la police

C'est ainsi que je rejoignis les forces de police. Pas les régulières, non, mais la célèbre équipe du SWAT. Casque et équipements en Kevlar noir, gilet pare-balles, lunettes de protection et masque, il y avait pas à dire : l'uniforme en jette ! Et au moins, les gens que je croisais dans les rues étaient des Américains, et je les protégeais presque en direct.

Les interventions se succédaient, généralement pour pas grand chose, mais je me faisais remarquer lors de chacune d'entre elles. Forcément, quand on a passé deux ans dans un des pays les plus hostiles au monde, on développe des réflexes… Je me retrouvais bientôt au grade de chef de peloton, et je commençais enfin à me poser, à me dire que j'avais fait le bon choix de venir m'installer dans cette ville inconnue lorsque tout bascula.


Jour-J


- Unité SWAT, déroutez vous vers coordonnées GPS, possible attaque terroriste dans le secteur.


Je donnais l'ordre au chauffeur de suivre les coordonnées, en me retournant vers les quatre hommes constituant mon unité.


- O.K. les filles. On ne va pas inspecter l'hôtel finalement, on a un gros grabuge sur les bras apparemment. Alors préparez vous.


Le camion freina dans un crissement de pneus, alors que le chauffeur nous hurlait depuis la verrière que la route était ouverte et qu'il ne pouvait aller plus loin. J'ouvris les portes du van et sortis le premier, respirant une odeur âcre dès que mes bottes heurtèrent le sol. Je ne perdis pas une seconde de plus et m'équipais de mon masque à gaz, faisant signe à mes hommes de faire de même.


- D'accord. On avance prudemment. Groupe Bleu, surveillez nos arrières. Rouge, derrière moi. Je pars en tête.


Nous avançâmes avec prudence, lentement, vérifiant les coins, lampes torches allumées en espérant dissiper la fumée. Des cadavres jonchaient les rues, et plusieurs immeubles semblaient sur le point de s'effondrer.


- Equipe SWAT à Central. Inspectons ce qui semble être une explosion. Périmètre de ground zéro inconnu. Beaucoup de victimes civiles. A vous.

- Regroupement avec… forces de reco… quadrillage sect… *BZIT*

- Répétez central ! On vous perd !


Mais je ne reçus pas de réponse. Ce ne fut que quelques dizaines de minutes plus tard que les premiers éléments de l'armée nous rejoignirent, non sans quelques échauffourées, aucune des deux parties ne voulant se découvrir en premier.


Plusieurs heures plus tard, nous étions toujours sur zone, cherchant des survivants. Les huiles tenaient un conseil à l'hôtel de ville, et nous étions chargés d'assister les équipes de secours. J'avais divisé mon équipe en deux : la Bleu d'un côté de la rue, la Rouge de l'autre. Et moi, je faisais la navette entre les deux.


- Officier à terre ! Chef ! Qu'est-ce que… !

- Rassemblement ! Rouge, avec moi !


Lorsque j'arrivais devant les deux cadavres de l'équipe bleue, je restais sans voix pendant quelques secondes, alors qu'un civil, les mains pleines de sang semblait lui-même choqué par la scène. Bientôt, les habitudes reprirent et moi et mes hommes hurlèrent en même temps.


- A terre ! Police !

- Les mains où je peux les voir ! A terre ! A terre !

- Lâche le ! Police ! A terre ! Les mains en...


Il y eut un tourbillon et une rafale de vent, et un membre des Rouge s'envola pour s'écraser sur l'immeuble d'en face alors que nous ouvrions le feu sans savoir pourquoi, mon dernier coéquipier lâchant un "Lâche ton arme !" qui sonna étrangement. Je m'envolais en second et m'écrasais plusieurs mètres plus loin, ma chute ralentie par une voiture.

Je ne comprenais pas.


San Francisco, Zone de Quarantaine

Cela faisait plusieurs jours que cela durait, et les rapports étaient tous dingues. Mes hommes étaient soit morts, soit disparus. J'avais pu regagner une voiture de police, d'où j'avais été conduit, non pas à un hôpital bondé, mais au poste de police, où on m'avait donné un médicament pour le mal de tête, et une arme. J'étais resté plusieurs heures sans pouvoir bouger, avant qu'un véritable médecin ne trouve rien d'alarmant, m'immobilisant juste le bras droit pour deux semaines.

Depuis ma guérison, je reste au centre de police, où on essaie tant bien que mal de mettre de l'ordre dans le chaos qu'est devenue San Francisco. Pratiquement un mois s'était écoulé maintenant. Et même si tout ce qui c'était passé s'était un peu atténué, c'était toujours la même merde.

J'avais entendu parler de quelque chose qui se mettait en place. Un groupe, constitué des forces de reconnaissance de l'armée. Jusqu'ici, je n'y prêtais pas plus d'attention que cela. Je connaissais ce genre de groupes : prêts à tout pour rétablir une situation "normale". Personnellement, je doutais qu'un retour aux choses d'avant soit encore possible. Pas après tout ça. Et puis, je ne connaissais pas le lieutenant en personne, mais je voyais le type : exactement comme nous en Afghanistan, après nos premières pertes.


Afghanistan, plusieurs années plus tôt

C'était après notre premier accrochage. La hiérarchie ne faisait rien, et nous étions désemparés. La nuit appartient aux talibans, chaque homme dans chaque unité le sait. Mais on est allé les traquer. Pas les responsables : nous étions quatre jeunes en quête de vengeance, nous n'avions rien préparé. Juste aller à la chasse au taliban, leur faire payer la mort de nos camarades.

Nous étions sortis du camp discrètement, et avions marché pendant plusieurs heures en plein noir, sans voir ni parler. On les entendit d'abord. Un type de l'unité comprit que c'était bien des hostiles, et ils avaient des armes. On tira sans sommation, dans le tas. Ils ripostèrent, mais ils ne s'attendaient clairement pas à être attaqué sur leur sol, pendant leur heure de chasse. Leurs tirs cessèrent progressivement. On acheva les blessés.

Lorsque nous fûmes de retour à la Base, on nous plaça immédiatement en détention, pendant quelques jours. Notre sortie n'avait pas été bien vue, mais puisque nous revenions tous indemnes, ils classèrent l'affaire.


San Francisco, présent

Alors oui, je connais ces types prêts à tout, pour en avoir été un. Je ne veux pas tuer des gosses. Les mutants sont peut-être considérés comme nos ennemis, mais passé la trentaine, on se refuse certaines choses. Tirer sur des civils en fait partie. Tirer sans sommation également. Je suis un agent du SWAT désormais. Je suis peut-être prêt à faire usage de mon arme quand il le faut, mais le SWAT est une organisation destinée de sauver des vies. On ne tire qu'en dernier recours. Alors les frénétiques de la gâchettes, ce sera sans moi. Je reste au QG de la police, et je fais mon boulot. C'est tout.





Dernière édition par Anderson Dawn le Mar 22 Jan - 17:17, édité 1 fois
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Eryn Blake

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Eryn Blake
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 10:40

Citation :
Bienvenue à toi ! =D Je suis contente de te voir parmi nous !
(Avec Jeremy Renner en prime. Je me sens gâtée ! 8D)

Te bile pas pour le nombre de RP ^_^

Bon courage pour ton histoire ! ;D (Je déporterai mon message quand tu posteras, t'en fais pas ! ^_^)


Ta fiche est validée !

Te voilà paré à affronter l'univers de Shut Down !

Alors, alors ! Je ne vois aucune incohérence dans ton histoire, et ton personnage est fichtrement intéressant ! Même pas d'invasion de fautes de français en tout genre, un style qui colle à la formation d'Anderson... Impecc' !

Ceci étant, on se serait attendu à ce que ton personnage s'intéresse de près aux Hunters et à ce qui est advenu des membres des Forces Spéciales dépêchées sur le site le jour J. Tu peux soit le rajouter, soit décider qu'il n'est pas au courant et développer tout ça en RP. Si tu choisis la seconde option, on pourrait alors envisager qu'on lui ait caché les informations au vu de ses liens étroits avec l'armée... C'est toi qui vois ! ^_^

En attendant, j'ajoute ta couleur ta couleur et recenser ton avatar !

Pense bien à :
♦ Remplir ta fiche de profil en fonction de ton personnage (la partie contact aussi !)
♦ Générer ta fiche de roleplay (toujours dans le profil ^_^)
♦ Créer ta fiche de suivi dans la Treasure Box
♦ Faire ta demande de rang !

Et en plus...
Les Caprices de l'Agent Mutagène te permettront de bénéficier d'un quatrième RP, où les mises en situation seront imposées par le Maître du Jeu. Idéal pour les surprises, l'action ou encore la bonne intégration à l'intrigue actuelle du forum ! (Je te mettrai en disponibilité limité et ne t'imposerai rien si tu as un RP en cours, sauf en te contactant au préalable.)
♦ Et quand tu as tout bon... Les demandes de RP n'attendent que toi ! ♥

Si tu as des questions ou des suggestions supplémentaires, tu peux te rendre dès maintenant dans la catégorie Ask & Tell, ou encore mpotter les membres du staff !

Bon jeu parmi nous ! ♪
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Charlotte G. Hawkins

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Charlotte G. Hawkins
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 11:28

Bienvenuuuuue:D
Très bon choix d'avatar et j'aime beaucoup le style d'écriture *_*
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Killy Novak

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Killy Novak
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 16:13

Bienvenue ! Très belle fiche ;)
Tu dis être en prépa, puis-je savoir en quoi ? What a Face
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Anderson Dawn

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Anderson Dawn
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 17:18

Merci à vous ! =3

J'ai rajouté cela à ma fiche :

Citation :

Depuis ma guérison, je reste au centre de police, où on essaie tant bien que mal de mettre de l'ordre dans le chaos qu'est devenue San Francisco. Pratiquement un mois s'était écoulé maintenant. Et même si tout ce qui c'était passé s'était un peu atténué, c'était toujours la même merde.

J'avais entendu parler de quelque chose qui se mettait en place. Un groupe, constitué des forces de reconnaissance de l'armée. Jusqu'ici, je n'y prêtais pas plus d'attention que cela. Je connaissais ce genre de groupes : prêts à tout pour rétablir une situation "normale". Personnellement, je doutais qu'un retour aux choses d'avant soit encore possible. Pas après tout ça. Et puis, je ne connaissais pas le lieutenant en personne, mais je voyais le type : exactement comme nous en Afghanistan, après nos premières pertes.


Afghanistan, plusieurs années plus tôt

C'était après notre premier accrochage. La hiérarchie ne faisait rien, et nous étions désemparés. La nuit appartient aux talibans, chaque homme dans chaque unité le sait. Mais on est allé les traquer. Pas les responsables : nous étions quatre jeunes en quête de vengeance, nous n'avions rien préparé. Juste aller à la chasse au taliban, leur faire payer la mort de nos camarades.

Nous étions sortis du camp discrètement, et avions marché pendant plusieurs heures en plein noir, sans voir ni parler. On les entendit d'abord. Un type de l'unité comprit que c'était bien des hostiles, et ils avaient des armes. On tira sans sommation, dans le tas. Ils ripostèrent, mais ils ne s'attendaient clairement pas à être attaqué sur leur sol, pendant leur heure de chasse. Leurs tirs cessèrent progressivement. On acheva les blessés.

Lorsque nous fûmes de retour à la Base, on nous plaça immédiatement en détention, pendant quelques jours. Notre sortie n'avait pas été bien vue, mais puisque nous revenions tous indemnes, ils classèrent l'affaire.


San Francisco, présent

Alors oui, je connais ces types prêts à tout, pour en avoir été un. Je ne veux pas tuer des gosses. Les mutants sont peut-être considérés comme nos ennemis, mais passé la trentaine, on se refuse certaines choses. Tirer sur des civils en fait partie. Tirer sans sommation également. Je suis un agent du SWAT désormais. Je suis peut-être prêt à faire usage de mon arme quand il le faut, mais le SWAT est une organisation destinée de sauver des vies. On ne tire qu'en dernier recours. Alors les frénétiques de la gâchettes, ce sera sans moi. Je reste au QG de la police, et je fais mon boulot. C'est tout.

Et je suis en prépa HEC (commerce) (argeeeeent *.* => dixit le type le moins économe de sa classe) x)
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Eryn Blake

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Eryn Blake
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 17:25

Parfait !
J'aime beaucoup les détails, la façon dont tu as bien intégré la réalité militaire de ton personnage. *_* Bref, bref, tu es validé plus officiellement, donc. Je déplace ta fiche =D
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Jeffrey J. Gallagher

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Jeffrey J. Gallagher
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn | Mar 22 Jan - 23:22

Je suis en retard mais je tiens quand même à te souhaiter la bienvenue et à préciser en passant que je suis également fan de ton style d'écriture, j'adore déjà ton personnage *_*
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Message Sujet: Re: Anderson Dawn |

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