Âge: 25 ans
Occupation: Professeur de Lycée en littérature. Écrivais un blog à succès avec des articles et nouvelles très "girly".
Contamination: Possible Mutation
Pouvoir éventuel: Ralentissement moléculaire.
Mais que cela signifie-t-il ? J’ai la capacité de ralentir les molécules composant un objet ou un être vivant à tel point qu’on pourrait le croire « figée ». Ou tout du moins c’est l’effet que peut faire cette mutation une fois son pouvoir amplifier presque au maximum.

Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Pour commencer je parviendrais simplement à ralentir certain objet, certain être tout cela bien évidement à pas de lilliputien. Au départ mon pouvoirs sera concentré sur une seule cible, puis peu à peu j’arriverais à en augmenter la portée jusqu’à peut-être un jour réussir à l’appliquer sur toute une ville qui sais ?

Je ne pourrais pas appliquer ce « dons » sur ma propre personne, seulement sur ce qui m’entoure. Je devrais aussi apprendre à visée, et surtout à contrôler car cette mutation pourrais devenir dangereuse, spécialement entre les mains d’une maladroite dans mon genre ! Je le découvrirais petit a petit.

Mais pour l’heure je n’ai aucune idée de ce qu’il m’attend.
Personnalité:  Harmonee est une jeune fille qu’on peut qualifier d’assez atypiques sur certains points. C’est une jeune femme douce et féminine pour sûr, parfois même pire névrosée que tous ses congénères réunis. Elle n’a pas la langue dans sa poche, pour sur elle parle beaucoup… beaucoup trop ! Et quand elle à une idée à faire passez elle n’y va pas par quatre chemins, quitte à bien mettre les pieds dans le plat.

Plutôt exubérante dans son genre, la discrétion n’est vraiment pas son point fort. Partout où elle va elle sait se faire remarquer. Non seulement elle est extrêmement maladroite, à tel point que ce n’est pas rare de la voir finir cul par terre ou avec de belles bosses, mais en plus elle a tendance à ce fiche complètement de ce qu’on pourrait pensez d’elle. Si l’envie de chanter, de dansé ou de faire des claquette lui prend elle ne ce retiendra certainement pas.

Mais ne pensez pas pour autant que la jeune femme est bonne poire, loin d’être idiote elle à un très bon instinct. Elle devine facilement les choses et est très bonne organisatrice et oratrice. Elle sait faire passer ses idées et les vendre. Et joue souvent sur ce côté « petite fille » qui bien qu’agaçant reste très attachant pour obtenir ce qu’elle souhaite.

En revanche, elle croiserais un serial killer dans les rues en sachant pertinemment le danger qu’elle court qu’elle serait capable d’aller discuter avec lui dans l’espoir que cette personne soit quelqu’un de bien… Elle croie toujours en le meilleure chez une personne, et ce, même si cette personne l’a déjà déçue par le passé. C’est une professionnelle de la seconde et de la troisième chance. Elle n’est pas du tout rancunière. En revanche le jour ou le lien ce brise, c’est bel est bien terminée. Elle ne vous le dira pas forcément mais croyez-moi, vous remarquerez bien la différence.

La belle brune est aussi quelqu’un de très humain, hypersensible par moment elle a beaucoup d’empathie et fourre toujours son nez dans les affaires de ceux qu’elle aime dans l’espoir de régler miraculeusement tous leurs tracas. Elle a tendance à foncer tête baissé même si on lui rabâche qu’elle se trompe pour finalement après coup ce faire « oups comment je répare ma bêtise ? ». Car la demoiselle en plus d’être une véritable tête de lard est aussi très impulsive. Elle ne manque pas d’imagination et fait beaucoup de chose avec beaucoup de bonne volonté mais omet très souvent de pensé aux conséquences de ses actes… L’avantage c’est qu’elle arrive toujours à ce sortir des situations les plus délicate grâce à des pirouette qu’on n’aurait pas vue venir. Mais on s’y habitue à la longue. Demandez donc à son frère !

Harmonee s’attache très facilement aux autres, elle aime sans mesure et donne beaucoup sans jamais demander en échange. C’est en cela que son entourage ce montre souvent très protecteur avec elle. Elle vie dans son monde, dans sa petite bulle enfantine au pays de Candy ou presque. Par contre si elle a à vous dire merde ou à distribuer des gifles, elle sait aussi très bien de faire. Demandez à son ex, il a encore une trace de main sur la joue !

Vous l’aurez compris, mademoiselle Muller est une personnalité haute en couleur. Il est difficile d’en faire le portrait en seulement quelques lignes dans tomber dans un extrême ou dans l’autre. Quoi qu’il en soit, pour vraiment la cerné il faudra l’avoir vue évoluer au quotidien.

Physique: Harmonee n’est pas une jeune femme très grande du haut de son mètre soixante-cinq. Elle n’a pas non plus des mensurations de mannequin. On peut voir dissimulée sous ses petites robes d’adorable petite poignée d’amour. Elle fait un petit soixante-trois kilogramme ce qui lui vaux une taille quarante. Elle a une poitrine ronde, un bonnet bien en chair sans pour autant être celui de Pamela Anderson.

Une longue chevelure brune lui tombe un peu au-dessus de la taille, elle aime y mettre des serre tête haut en couleur ou agrémenté de petite fanfreluche, rien de très extravagant mais suffisamment pour être sa signature. Le plus impressionnant chez elle cependant reste ses deux grand yeux bleu à la couleur si soutenue qu’elle en serait presque irréel.

Elle a des petites mains toujours manucurée avec soin, car vous l’aurez compris elle aime jouer de couleur et d’originalité. Elle ne se charge pas tant de grosse joaillerie, mais aime ponctuer ses tenue de petits accessoires sans pour autant ressembler à un sapin de noël. Elle n’est pas too-much, mais s’habite avec classe et originalité. Elle fuit la vulgarité et sais ce mettre en valeur. Souvent en robe avec des chaussures choisit avec soin car elle raffole de sa garde-robe elle est entre la petite princesse et la femme adulte, on ne peut pas vraiment le définir puisque tout dépendra toujours de son humeur du moment.

La plupart de ses émotions passe à travers on regard. Maquillé avec légèreté mais soin elles usent de couleur pastel sans jamais ce transformé en un pot de peinture sur pate, préférant le naturelle à l’artificielle depuis toujours.

D’un naturelle très expressif on devine facilement ses pensées rien qu’en regardant ses expression faciale ou sa façon de se mouvoir. Doté d’un très grand esprit d’auto dérision elle n’est pas du genre à se la jouer « cool », bien au contraire elle se prend très largement au second degré et ne lésine pas sur les grimaces.

Charmeuse sans le vouloir il n’est pas rare de ce faire envouté par son regard et ses petites manies. Douce et pourtant très maladroite elle se mord souvent les lèvres. Il n’est pas rare non plus qu’elle se fasse remarquer dans la rues, dont cela n’étonnerais personne que vous l’ayez déjà croisée quelque part.

Impact de la situation: J’étais effectivement en zone 0 quand l’accident a eu lieu. En fait je faisais une visite à mes élèves à ce moment-là. Je n’ai d’ailleurs rien vu venir, assommée malencontreusement par une poutre ou que sais-je. A mon réveil j’étais entre les mains d’hommes étranges. Je ne manquais d’ailleurs pas de leurs faires comprendre que leurs mains devraient trainée ailleurs que sur mes courbes. Mais étrangement je ne fus pas écouté.

Finalement ils ne semblèrent pas trouver ce qu’il cherchait puisqu’ils me laissèrent partir ! Et ce fus tant mieux, car je peux vous dire que quand je me suis retrouvée seule dans mon petit appartement, ma méga glace de réconfort c’est vite retrouvé étaler aux sols quand j’ai entendu les nouvelles à la télévision. On se serait cru dans une bande dessinée.

Durant toute la panique qu’à engendré toute cette histoire, je suis resté étrangement calme. Mettez peut être cela sur le compte de ma naïveté ou de mon esprit enfantin je ne sais pas. Mais je n’ai pas manqué un seul jour de lycée. Je savais bien que de toutes façon nous n’avions pas d’autre choix que de nous adapter. La seule chose qui me travaillais concrètement, c’est que je voulais savoir ce qu’il était advenue de mes élèves. Peu d’entre eux était présent à la visite. Mais je m’attache vite. Je culpabilise. Et je me sens coupable de ce qu’il aurait pu leurs arrivée.

Quoi qu’il en soit j’essaie de vivre normalement au possible, pas seulement parce que je suis dans un grand déni mais aussi parce que je donne bien le change. Comme les Autruche, quand quelque chose ne va pas j’enfouie ma tête dans le sable ! Mais combien de temps pourrais-je continuer ainsi ? Car pour le moment je n’ai aucune trace de mutation… Mais croyez-moi que si je savais ce que l’avenir me réserve sur ce point-là, ça ferait un moment que j’aurais littéralement paniqué !

Pseudonyme: Hachiko
Comment avez-vous connu ce forum: PRD
Autre chose ?: J'espère vraiment avoir trouver la perle rare que je cherchais. Après j'ai tout dis quand j'étais encore "invité". On verra pour la suite. Et j'espère que mon personnage vous plaira autant que votre forum à fait effet "coup de coeur" !

On m’a toujours dis que mon prénom ne m’allais pas du tout. Même mes parents l’avaient prévue puisqu’ils en ont singularisée l’orthographe. L’avantage c’est que dès la naissance on savait qu’il n’y allait pas en avoir deux comme moi. Et pour cause, j’ai toujours provoqué un drôle d’effet partout où j’ai pu aller.

Je suis la fille de Barbara et Michael Muller, ma mère était professeur en science nucléaire et mon père travaillait pour un laboratoire de l’armée dans le Kansas. Je ne suis pas arrivée seule sur cette terre, j’étais accompagner d’un frère. Une partie de moi non négligeable d’ailleurs. Mon jumeau. Nos parents ce sont séparé nous étions encore très jeune. Ils c’étaient mariée en sortant de l’université à Vegas sur un coup de tête et pas longtemps après nous sommes arrivée. Alors forcément quand on n’apprend pas à connaitre son partenaire de jeux avant de se lancer dans une partie en équipe, on va toujours droit dans le mur. En tout cas c’est ce qui est arrivée avec nos parents.

Maman ayant un emploi du temps légèrement moins chargée que papa elle nous chargea dans la voiture mon frère et moi pour nous emmener à San Francisco ou elle avait décroché son premier poste dans l’enseignement. Quand à mon père il ne bougea pas d’un pouce toutes ses années-là. Mon frère et moi n’avons jamais su quel était réellement le travail de papa. Tous ce que nous avons pu apprendre c’est que peu avant les vacance d’été que nous devions passé chez lui quand nous avions neuf ans, le chef de la base à appeler maman pour lui dire qu’il y avait eu un grave accident. La base avait littéralement sauté, papa avec. Ce fut le premier enterrement auquel nous avons assistée en famille. J’ai beaucoup pleuré, pas mon frère. Lui il me tenait la main et pris soin de moi. Il prit même soin de toute la famille en fait. Car mon frère a toujours été comme ça, protecteur et particulièrement orgueilleux.

J’aimais beaucoup mes grand parents paternel aussi, à partir de la mort de papa nous passion énormément de vacance chez eux. Mais je crois que la tristesse avait tellement meurtrie le cœur de grand-mère qu’elle ne pus survivre à la mort de son fils. C’était pourtant une femme joyeuse. Avec certes du caractère, mais avec qui on ne s’ennuyait jamais. Quand à mon grand-père… Disons que mes grands-parents était comme des inséparable –les oiseaux- ils ne pouvaient pas vivre loin de l’autre. Alors finalement quand nous sommes arrivées à l’âge de douze ans il ne nous restait plus que notre mère et notre grand-mère maternelle. Une femme acariâtre recluse dans son petit chalet en montagne que je n’aimais pas beaucoup. Mais ce n’étais pas grave. Car maman était géniale. Elle ne perdait jamais le nord et alliais parfaitement carrière et vie de famille. Elle ne s’est jamais remariée. Nous ne l’avons même jamais vue avec un autre homme que papa. Je crois qu’en fait elle nous positionnait comme le centre de sa vie. Je lui rendais bien. Car loin d’être une enfant capricieuse je fus plutôt docile et serviable.

Scolairement parlant j’étais une élèves très doué, j’avais toujours de très bonnes note en classe mais mes rêveries continuelle et les gribouillages sur mes cahier me valurent tout de même quelques problèmes, et ce dès le plus jeune âge. Mon frère et moi avancions au même rythme bien que dans des classes différentes. J’étais plutôt petite fille perpétuellement plongé dans ses bouquin et sans vraiment de camarade pour jouer à la récréation. A vraie dire enfant j’étais plutôt rondouillette et je subissais souvent les moqueries de mes pairs. Mon frère lui était à l’inverse mignon et avait beaucoup de succès, très populaire il brillait par ses capacité autant sportive qu’intellectuelle, il était parfait en somme. Nous sommes restées très proche et il n’hésitais pas deux minutes à prendre ma défense quand on m’attaquait. Pour ma part je lui laissais l’espace dont il avait besoin pour jouer avec ses amis. Déjà bien ancré dans mon monde rester seule ne m’a jamais déranger. Et de toute façon je préférais de loin les discutions que j’avais avec les adultes qui m’entourais trouvant que les jeunes gens de mon âge étaient toujours en décalage avec ma personnalité.

Ce fut au lycée que je perdis beaucoup de poids et commença à attirer les regards. Mon frère jaloux de quiconque m’approchais faisait barrière. Nous étions comme deux âmes sœurs toujours d’une très grande complicité et d’une complémentarité étonnante. J’ai toujours été cependant la fille un peu bizarre et décalé, un vrai looser. Mais on m’acceptait quand même. Je crois que ma notoriété était plus du au actions de mon frère qu’à une réelle appréciation de la part des adolescents de mon âge. Mon frère fut même élu rois de notre promotion pour vous dire !

J’eu le cœur brisée quand nous sommes entré à l’Université. Lui rejoint les rangs de Stamford tandis que pour ma part j’allais à Brown. Nous avions tous les deux le mérite d’avoir obtenue une bourse et un allé simple pour les écoles de l’Ivy league. Notre mère était très fière ! J’étudiais les lettres et les langues et eu même un master en théâtre et cinéma. Mon double diplôme me permis de prétendre revenir au porte de mon ancien lycée demander un poste d’enseignante que j’obtenue sans peine. Mon frère quant à lui fus embauché par la Néo Corporation une fois ses diplôme en poche. Nous vivions séparé mais jamais très loin l’un de l’autre. Je crois même que mon frère est le numéro le plus joint de mon téléphone.

Tout en enseignant au lycée j’écrivais des articles et des nouvelles pour les journaux locaux à l’attention des adolescentes et jeunes adultes, un public féminin pour la plupart à qui mon écrit parlait sans doute. Je commençais alors un petit blog internet à succès que je tenais à jour deux à trois fois par semaine entre deux copies à corriger.

Quand à mon travail d’enseignante j’aimais plus que tout travailler avec des jeunes, je participais même au programme de réinsertion sociale des enfants à problèmes plus ou moins grave. Me sentant ainsi utile à aider ses jeunes à construire leurs avenirs. Je crois que mes élèves aussi m’apprécie, sans prétention bien sûr, j’aime penser que peut être je leurs apporte quelque choses pour leurs avenir, plus en tout cas que d’étudier du Shakespeare en classe.

En ce qui concerne l’amour, les amitiés, les emmerdes… J’ai eu une relation longue qui à durée trois ans à l’université. Nous avons rompu quand je suis retourné vivre à San Francisco il y a un peu plus d’un an. J’en ai certes beaucoup souffert, surtout d’avoir retrouvé la petite culotte de ma meilleure amie pendu à son sèche-linge avec quatre pieds qui dépassaient de sa couette. Mais c’est la vie. Alors depuis ou j’ai mon petit cercle, je sors, j’aime m’amuser et profité de ce que ma jeunesse peut encore m’apporter. Je ne cours pas après les hommes spécialement. Il m’arrive comme tout le monde d’avoir parfois des petites aventures. Mais jusque-là je n’ai trouvé personne pour faire bondir mon cœur. Et je n’en veux pas forcément.

J’aime vivre au jour le jour sans me prendre la tête. Bien sûr dire que la situation en ville est devenue légèrement complexe serait un euphémisme. Mais je n’irais pas jusqu’à m’apitoyer sur mon sort et priée pour qu’on nous libère. Chaque chose arrive pour une raison après tout, et je ne connais pas la raison de ses évènements là mais pour le moment je resterais docile et continuerais tant que le lycée sera ouvert à aller dispensé mes cours. Mon blog me manque, écrire me manque. Je trouverais bien quelque chose en remplacement. En attendant le propriétaire de l’appartement que je loue a mystérieusement disparue et sa fille me fou dehors alors j’ai d’autre préoccupation que les mutants qui court dans les rues, comme par exemple me retrouver un toit. Ce serais peut-être plus simple d’ailleurs en colocation, vous en pensez quoi vous ?