Âge: « J'aimerai bien dire que j'ai 25 ans et toute mes dents, mais ça ferait trop gamin alors je vais juste dire que j'ai 25 ans. »
Occupation: « Je traque, je chasse, je tue les mutants. What else ? »
Contamination: « Saine. Manquerait plus que je sois une mutante, tiens. »
Pouvoir éventuel: « Je n'ai pas de pouvoirs, heureusement d'ailleurs, j'ai pas envie d'être étrange moi. »
Personnalité:
« Ma personnalité ? Ouhla. On dit de moi que je suis une véritable chieuse. Enfin, c'est rare qu'on me le dise car, pour être honnête, y en a pas beaucoup qui ose me dire les choses en face. Je fais peur ? Peut-être. Il faut dire que j'ai la main facile sur les gifles. Violente ? Oh, peut-être un peu. Il en faut bien dans la vie. En tout cas, j'me laisse pas faire, c'est clair et net. Peut-être pour ça qu'on ne m'embête pas trop. Tant mieux d'ailleurs. Je n'ai pas de temps pour qu'on me fasse chier. Je suis overbookée, moi, vous savez. Je suis autoritaire aussi, et perfectionniste. J'aime quand les choses sont bien faites. Les erreurs ? On n’a pas l'temps pour ça. La vie est courte, vous savez, alors autant la réussir. Si je ris de en temps en temps ? Bah oui... bien sûr. Tant que la blague est drôle, je suis plutôt bon public ! Mais faut qu'elle soit drôle quoi, c'est ça le soucis. Les blagues carambars, très peu pour moi. Si je connais celle de l'éléphant qui quoi ?! Bon, on est là pour parler de ma personnalité ou pas ? Alors arrêtez avec vos blagues à la con. Plutôt bon public, ok, mais faut pas pousser mémé dans les orties non plus. Bon, j’en étais où ? .. Ah oui, réussir la vie. Donc bah oui, je fais en sorte de réussir ma vie. J’ai 25 ans, quand même. C’n’est pas rien, je suis au trois,quart de ma vie à peu près.
Enfin bref. Je sais quand même m’amuser, hein, n’allez pas croire que je suis une coincée. Il m’arrive de boire de temps en temps. Par contre, je ne fume pas. Ah non, manquerait plus que j’aille me pourrir les poumons avec cette merde ambulante. Bon, voilà, vous êtes heureux ? Vous avez eu ce que vous vouliez ? Parce que moi, j’dois y aller, j’ai pas le temps de m’attarder ici. Bye. »

Cameron L. Cooper ou la fille avec le comportement le plus dur que vous n’ayez jamais vu. Beaucoup la qualifie de garçon manqué, ce n’est pas vraiment une fille pour certain. Du moins, elle n’a pas le comportement qu’on associe généralement aux demoiselles. Insensible, dur, sérieuse, sportive, autoritaire, elle n’avait pas d’amis lorsqu’elle était petite et c’est toujours pareil pour le moment. Rares sont les personnes pouvant canaliser son tempérament de feu. Elle ne se laisse pas approcher si facilement, Cameron. Elle ne fait que très peu confiance aux gens. Elle est timide, franche (même un peu trop), débrouillarde. Elle a le sang-chaud, elle est colérique et elle manque de confiance en elle. Elle est également têtue et bornée, peu de personnes sont capables de la faire changer d’avis. D’un autre côté, elle peut-être sympathique et attachante lorsqu’on arrive à entrer dans le petit monde la rousse. En fait, pour découvrir qui est la vraie Cameron, il suffit de ce piquer aux épines de la fleur, ce que peu de gens sont capable de faire.

Physique:
Ce qu’on peut dire sur Cameron, c’est qu’elle a bien un physique des plus voyants. Commençons par ses cheveux, ou plutôt sa crinière de feu, qui s’accorde parfaitement à son tempérament. Elle ne les aime pas d’ailleurs. Maintes et maintes elle voulait aller chez le coiffeur pour se faire une teinture. Blonde, brune, elle s’en foutait. Elle en avait juste marre de voir ce rouge constamment au tour d’elle. Finalement elle s’est résiliée, parce qu’elle n’avait tout bonnement pas confiance en la coiffeuse et les conneries qu’elle pouvait faire. Cameron a donc toujours gardé cette couleur naturelle de cheveux, même si elle ne les aimait pas.

Par la suite, Cameron c’est aussi 1m63 de méchancetés en tout genre. Petite mais coriace, la rousse. Moquez-vous de sa taille et vous aurez à faire avec le courroux de la jeune Cooper et ce n’est peut-être pas une très bonne idée.

Sinon, Cameron, elle ne prend pas vraiment soin de son apparence. Elle n’est pas du genre à rester trois heures à se pomponner. Elle ne met pas non plus son physique en valeur, à quoi ça servirait ? Elle pense pratique, la petite. Pourquoi se péter le pied avec des hauts talons alors que des converses sont plus confortables ? That is the question.

La tenue habituelle de la rousse ? Jean, sweat, converse. Débardeur et short si il fait chaud, attention, la jeune femme se dénude.

En fait, pour le moment, Cameron ne voit pas l’intérêt de prendre soin d’elle. Surtout avec les temps qui courent. Peut-être que plus tard, elle envisagerait de porter des robes, des jupes, des trucs réservés aux demoiselles, mais pour l’heure, elle reste pratique.

Impact de la situation:
« J’sais pas comment sont arrivés ces mutants. Mais une chose est sûre, c’est une belle merde, eux. Ils sont la cause de tous nos ennuies. Sans eux, on ne serait pas en quarantaine ! On aurait pu continuer nos vies normalement, sans aucun souci. Mais nan, ils avaient fallu qu’ils se ramènent. Les mutants ? Ce sont des plaies. Ils ont tués des gens alors pourquoi on ne les tuerait pas ? Une vie contre une vie. That’s the deal. J’ne suis pas comme ces PeaceKeepers. Ok, eux aussi ils veulent arrêter ces mutants mais ils sont beaucoup trop lents. Puis leur sérum, ça se trouve il fonctionne même pas. Ça se trouve, des années plus tard, les anciens mutants redeviendront des mutants ou je sais pas quoi. Puis, ça se trouve, ils vont transmettre le gène à leur descendance. Encore plus de mutants… Non, non, vaut mieux les tuer. Simple, efficace, problème résolu. Mais bon, l’ennuie, c’est que ça ne se fait pas, de tuer des gens comme ça. Alors, du coup, on est obligé d’agir dans l’ombre. Comme des justiciers masqués, vous voyez ? Style Zoro. Sauf que Zoro, il a plus de reconnaissance. Puis bon, Zoro il risque pas de se faire tuer si il arrête d’être Zoro.. vous voyez ce que j’veux dire ? J’aime bien Drake, ‘fin, aimer c’est un bien grand mot. Je le supporte quoi. Mais bon, il fait légèrement peur le gars. Vaut mieux pas le trahir celui-là, ou il nous transforme en chair à saucisse. Toutes les personnes qui avaient décidés de quitter le clan, on ne les a plus jamais revu… M’enfin, c’est pas comme si moi j’voulais arrêter la chasse aux mutants. Je ne m’arrêterai jamais, tant qu’il y en a, je continuerais ma petite traque. C’est comme un jeu quoi, et moi, je n’accepte pas la défaite. »

Pseudonyme: La loutre.
Comment avez-vous connu ce forum: Top-site !
Autre chose ?: Je suis un petit lama buvant du lait de chat et votre rpg a l'air de déchirer. *-* Enfin, c'est logique, sinon je ne serais pas là. :') Bref, je me tais.

C’est en pleine saison d’hiver, le 23 janvier, que naquît une petite fille dans l’hôpital de San Francisco. Le premier enfant de la famille Cooper qui baptisa leur petite princesse Cameron en hommage à la mère défunte de Jonathan Cooper. Le deuxième prénom de la demoiselle, Luna, fut choisi car à l’heure où elle est née, c’est-à-dire deux heures du matin, la pleine lune régnait dans le ciel.

Cette petite fille grandit dans le meilleur environnement possible. Des parents aimants, lui donnaient tout ce dont elle avait besoin pour s’épanouir. Jusqu’à l’âge de sept ans la vie que vivait la petite Cameron, surnommée Camou, Cam’ ou Camie par son entourage, était digne des contes de fée. Elle était la princesse de ses parents, leur chouchoute, leur petite fierté. Sauf qu’à l’âge de sept ans, Jonathan Cooper quitta sa femme et sa fille pour rejoindre son amante et partir faire le tour du monde. Le père de famille laissa donc Cameron et sa mère, seules sans même leur donner de l’argent. Olivia Cooper ne travaillant pas, elle dut trouver le plus rapidement un petit boulot. Un seul s’offrit à elle et ses compétences mais il ne rapportait pas assez d’argent pour subvenir à ses besoins et ceux de sa fille. Alors, Olivia dut se résilier à trouver un autre job rapportant plus. C’est ainsi que la mère de famille commença à coucher contre de l’argents. Bien évidemment, elle faisait en sorte que sa fille n’en apprenne rien. Grâce à ce boulot disgracieux, la vie de famille de Cameron et sa mère s’améliora grandement.

Seulement, tout ne reste pas secret très longtemps. Ce fut à l’âge de onze ans, à l’entrée du collège donc, que Cameron sut le travail de sa mère. Comment ? Vous pouvez bien vous imaginez que jamais Olivia ne l’aurait dit à sa fille. C’est un élève de l’école de la rousse, qui avait vu sa mère en train de se faire tripoter par un inconnu, qui apporta la charmante nouvelle à Cameron. Sa réaction ? Elle foutu une grosse gifle au garçon qui avait osé dire ça de sa mère ce qui lui valut un passage chez le directeur de l’école qui faillit faire virer la petite fille. Heureusement pour elle, il ne le fit pas.

De retour chez elle, Cameron était partie raconter cette histoire à sa mère, qui fondit en larme. La jeune Cooper sut alors que le garçon qu’elle avait frappé disait vrai. Choquée et humiliée, la petite fille n’adressa pas la parole à sa mère durant des jours avant de comprendre pourquoi elle avait fait cela. Immédiatement la rousse se mit en tête de récolter le plus d’argents possibles pour sa mère. Vendant un à un ses jouets, la petite fille donna tout le pactole à sa génitrice qui fut touchée. Malgré cela, les deux cents dollars qu’elle avait récolté ne suffisant pas, Olivia dut continuer son petit boulot pour le plus grand malheur de sa fille.

A l’école, les quelques amis que Cameron avait disparurent dès qu’ils furent au courant pour le travail de sa mère. Tous se moquaient d’elle, enfin la plupart, et plus le temps passait et plus la rousse se forgeait une petite bulle que peu de monde ne pouvait pénétrer. Elle devenait à côté de ça plus violente, enchainant les séjours chez le directeur.

La petite fille souriante qu’était Cameron disparut et laissa place à une adolescente rebelle.

Au lycée, la jeune rousse put tout recommencer à zéro. C’était l’occasion de se refaire des amis, de sortir, et etc. Sauf que Cameron n’en avait plus envie. Les gens de son âge, elle les méprisait. Elle les avait tous mis dans le même bateau, pour elle, les gens de son âge étaient tous des cons.

A côté de ça, la jeune femme avait commencé à prendre un petit boulot. Elle travaillait comme serveuse dans une pizzeria. Grâce à ça elle pouvait ramener de l’argent et aider sa mère, Olivia, qui avait arrêté ses activités de prostitués pour devenir femme de ménage dans un motel, au bord de la route.

Pendant ces trois longues années, Cameron s’était enfermée dans son monde. Elle ne participait pas aux plus grandes soirées organisées par les gens de son âge, elle ne faisait rien de tout ça. A la place, elle allait au bar. Elle n’était pas assez âgée pour y aller, normalement mais elle s’était liée d’amitié avec le barman. Enfin, s’être lié d’amitié était un bien grand mot. Dison que, un jour, alors que Cameron avait réussi à entrer dans un bar par chance, le barman l’avait repéré. Il allait alors la virer. La jeune Cooper ne se laissant pas faire, elle lui assena les pires insultes qu’elle avait en réserve. Le barman, dénommé Will, fut étonnamment surpris. Amusé par le comportement de la rousse, il lui permit de rester. Il lui donnait un peu d’alcool tout en faisant attention à ne ce qu’elle boive pas trop. Bref, on peut dire que Will était le seul vrai ami de la rousse à cet âge là.
Elle préférait se tourner vers les personnes plus âgés, plus matures, les gamins de son âge, très peu pour elle.


Le lycée se termina en beauté pour Cameron, qui obtenu son diplôme avec mention. Elle fit la fierté de sa mère en s’inscrivant par la suite dans l’une des universités de San Francisco certes minable, mais c’était déjà ça. Là-bas, la rousse commença des études pour devenir médecin. Vous avez du mal à visualiser la jeune Cooper aider les autres ? Vous n’êtes pas les seuls, ne vous inquiétez pas.

Quoi qu’il en soit, la jeune femme entama ses études de médecines. Elle redoublât cependant la première année, la plus difficile, avant d’enchainer les autres avec brios. A côté de ça, les relations de la rousse avec des personnes de son âge ne s’arrangeaient pas. Elle était détestable, solitaire et peu de gens arrivaient à la supporter. Mais elle n’avait pas besoin d’amis, Cameron, du moins c’est ce qu’elle se disait. Il vaut mieux être seule que mal accompagnée, telle était sa devise. Elle revoyait cependant régulièrement Will, le barman, qui lui fournissait toujours un peu d’alcool. Il était gentil, Will.

Le train de vie de la rousse était monotone. Ecole, maison, travaille, bar. Voilà ce qu’elle faisait de ses journées. Cela ne semblait pourtant pas déplaire à Cameron qui ne faisait rien pour changer. Le changement, elle n’aimait pas ça. Sa vie la satisfaisait, alors pourquoi la changer ?

Malheureusement pour elle, sa vie changea. A cause de quoi ? L’arriver des mutants. Au début, lorsque la ville fut mise en quarantaine et tout le tralala, Cameron s’en fichait. Cela ne l’empêchait de pouvoir continuer sa petite vie. Elle pouvait toujours aller à l’école, toujours bosser, toujours aller au bar. Bref, aucun changement dans sa vie si tranquille.

Sauf que, un jour, alors que Cameron s’apprêtait à rejoindre sa mère dans un coin de la ville, elle vit cette dernière se faire tuer par un mutant. Sous ses yeux. Sous le choc, elle mit du temps à réaliser ce qu’il se passait. Le mutant fila, et Cameron partit aider sa mère. Appelant immédiatement l’ambulance, cette dernière arriva quelques minutes plus tard, mais il était trop tard.

A cause de cela, Cameron voua une haine immense contre les mutants. Il fallait les exterminer. Abandonnant ses études de médecines, la rousse décida de rejoindre le clan des Hunters, pour se venger. Une vie contre une vie, that’s the deal et Cameron avait bien l’intention de trouver et de décapiter le tueur de sa mère.